Aujourd'hui,
le calembour stupide du jour est un stupide calembour, repiqué (sans son autorisation) à Clotilde, ici, là, sur son blog.

Je ne peux donc pas lui dédicacer ce dessin, puisque cela reviendrait à lui dédicacer sa propre blague, ce qui serait absurde.

Oui, je sais,
il est mort. Et bien, voyez ça comme un hommage.

Oui, je sais,
c'est un peu tiré par les cheveux. Bon. Et alors ?
Personnellement ça me semblait évident, comme parallèle, mais en même temps je bois trop de café, aussi, et je me couche trop tard.

Oui, je sais,
j'ai promis une note sur un tout autre sujet, plus sérieux que ça. J'y travaille, j'y travaille.

Ces images
indiquaient les noms des tables lors du mariage.
La première est posée sur la table pour en indiquer le nom, la seconde à l'entrée et porte la liste des personnes dans le cadre prévu à cet effet.

Tolkien lui-même précise que dire Imladris pour Fondcombe (qui est également Rivendell, dans la version anglaise), ce serait un peu comme de nos jours parler de Camaalot, voire de Carduel. Mais choisir Imladris plutôt que Fondcombe permettait d'obtenir une liste de noms de tables commençant chacun par une lettre différente. Ce qui est totalement inutile mais amusant.

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Ces images
indiquaient les noms des tables lors du mariage.
La première est posée sur la table pour en indiquer le nom, la seconde à l'entrée et porte la liste des personnes dans le cadre prévu à cet effet.

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Matte Painting,
correspondant à une scène d'une histoire qui reste encore à écrire. Normalement il y aurait eu la silhouette d'un grand dragon se découpant en premier-plan, mais, bon, zut quoi. Rien que le décor a déjà pris beaucoup de temps. On n'aura qu'à dire que c'est mal cadré et que le dragon est hors-champ.

Normalement, au départ, à ce moment de l'histoire, il pleut ; enfin, il bruine ; il bruine serré, même. Sauf que, du coup, le château ne serait plus qu'une silhouette avec des fenêtres éclairée perçant la brume, et, vu le temps qu'il a pris à construire, ce *** de château, c'était un brin frustrant.

Pour ceux qui se demandent : comme le nom l'indique, c'est un (une ?) "matte painting" numérique ; autrement dit, c'est tout construit à partir de photos. (celui qui a dit "han ben alors c'est facile, toi t'as rien dessiné, en fait" peut sortir).

Ce qui coule ici et là en brûlant très fort, ce n'est pas de la lave, mais de l'or en fusion. Oui, ça ressemble à de la lave. Mais, au-delà d'une certaine température, je suppose que toutes les choses très très chaudes en fusion se ressemblent plus ou moins.
. …ce qui explique qu'il y ait beaucoup de fumée. C'est chaud, donc ça fume.

Ces images
indiquaient les noms des tables lors du mariage.
La première est posée sur la table pour en indiquer le nom, la seconde à l'entrée et porte la liste des personnes dans le cadre prévu à cet effet.

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L'esprit encore intoxiqué
par sa récente plongée dans l'ambiance de "Botanicula",
je m'en vais moi aussi collectionner les cartes-bonus-de-petites-créatures de mon jardin...

L'esprit encore intoxiqué
par sa récente plongée dans l'ambiance de "Botanicula",
je m'en vais moi aussi collectionner les cartes-bonus-de-petites-créatures de mon jardin...

On les cuisine,
on les jette sauvagement dans l'eau bouillante,
mais prenez d'abord le temps de les regarder,
c'est si joli…

(ça n'empêche pas de les jeter malgré tout, ensuite, dans l'eau bouillante) (avec des oignons et des carottes)

Oh, je vous vois venir :
vous allez voir là tout de suite quelqu'allusion à une actualité récente, vous penserez que c'est là ma façon de me fendre moi aussi de mon petit billet sur le sujet.

Et bien même pas :
le brouillon de cette note date de certaine autre actualité mouvementée, quand certains jeunes gens quelque peu irréfléchis, irrités d'un "kiss-in" (quel terme idiot) organisé sur le parvis d'une église, courèrent sus en poussant des cris tels que "habemus papam" - ce qui est absurde, s'agissant d'un cri de joie réservé à une toute autre circonstance, un peu comme si on scandait "il est né le divin enfant" sur l'air de "votre crise on n'en veut pas".

Mettons, cependant, que je veuille bien voir là quelque rapport avec ce que vous avez en tête : en partie seulement, alors, et à condition de bien décortiquer cette petite fable dans ses moindres détails sans s'arrêter au plus évident. Sinon, c'est trop facile.

J'aurais bien, d'ailleurs, dans mes placards, une note nettement plus en rapport avec l'actualité sus-citée - un brouillon datant un peu, lui aussi, et lui aussi d'application bien plus large, mais qui collerait très bien au sujet.
Un jour, peut-être...

Ami lecteur,
si tu n'as strictement rien saisi de ce qui précède, bienheureux es tu, ne cherche pas à comprendre : tu t'épargneras des maux de tête et des aigreurs d'estomac. Assieds-toi sur le pas de ta porte, regarde passer les nuages, goûte l'apaisement de cette fin de journée, et oublie tout ce que tu viens de lire.

(Au fait, non, ce ne sont pas vraiment des beatniks, comme certains ne manqueront pas de le souligner, sinon dans le sens "rebelles au conformisme du moment" ; disons des anti-beatniks : les mêmes, mais de charge et de saveur inverses. En fait c'est tout ce que j'ai trouvé pour garder la sonorité du titre en une subtile allusion.)

(Non, la fin n'a rien à voir non plus avec un film douteux des Monthy Python, je tiens à le préciser parce qu'il y en a d'autres que je vois venir haha.)

C'eût été mieux encore,
eût-elle les yeux grands ouverts sur la dernière image. Ce qu'elle fait d'habitude, d'où l'idée du lémurien.
Mais, je n'avais pas de photo correspondante à recopier.

Voici donc tous les noms des tables,
puis les listes correspondantes. Vous pouvez maintenant voter pour votre préféré (de la manière la plus simple qui soit : en écrivant en commentaire : et bien, moi, et ben c'est çui-là que je préfère) (vous aurez remarqué qu'il y a deux versions différentes pour Osgiliath).

Et pour les revoir page par page, c'est par ici.

Se méfier
des anglicismes. Pendant tout le petit reportage (sur france Inter, il y a quelques semaines), le monsieur parlait de "tatoos", du tatoo qui se démocratise, de plus en plus de gens qui en ont, que c'est plus répandu, de moins en moins mal vu, moins underground, tout ça.
Et du tatoo show, donc.

Je me demande,
est-ce bien moral de rire à ce sujet ? Et je suis bien certain que quelqu'un l'a déjà faite.
Au moins, je peux dédier celle-ci à mes amis guitaristes.

C'est joli, non ?
Mais qu'est-ce que c'est ?

(je ne mettrai les mots-clés sous l'article que la semaine prochaine, sinon c'est trop facile. Si vous arrivez après, surtout ne descendez pas trop vite, restez sur la photo, sinon c'est de la triche.)

Comme il est bon
de se moquer de lui,
ne nous privons pas, surtout.

Alors, oui,
je ne maîtrise pas encore très bien la tablette.
Et, vers la fin, le barbare ressemble plus à un surfer maori. Soit.

Mettons que c'était un essai.

Non,
ce n'est pas par snobisme : ça ne marche qu'en anglais.

Une bûche rose,
à la rose. Pour de vrai. Enfin, à l'eau de rose. Et aux biscuits roses. Et à la framboise (rose).
La recette n'était pas de moi, mais je l'ai quelque peu adaptée.

On croise…
…de drôles de bêtes, chez nous.
(vous aurez remarqué, sur une des photos, elle a bougé)