La Caverne à dessins de l'Ours stylographe

Alors, bon,
certes, je ne ferai pas de l'antisémitisme LE mal du siècle (de toute façon c'est déjà pris), et je ne saurais honnêtement pas dire quelle proportion de la population représentent réllement les zouaves sur lesquels je suis tombés au cours de mes pérégrinations anthropologiques sur le réseau.
Mais, ça m'a semblé intéressant à partager. Une sorte de curiosité vaguement horrifiée, quelque chose dans ce goût-là.

Évidemment, maintenant, à la lumière (blafarde ?) d'événements récents, et de divers sujets inintéressants ou gesticulations absurdes ayant récemment monopolisé, et pendant quelque temps, les éditos, les ondes et les écrans, si, ça prend tout de suite une autre dimension.
Mais alors je ne le savais pas, j'ai dessiné ça il y a 2 mois, moi.
Cependant, ce n'est pas sans lien, puisqu'évidemment tout est lié, et que ce même site et véritable fossile vivant en publiait beaucoup, de liens, vers des vidéos d'un humoriste dont ils appréciaient les sorties, les gestes et les expressions, et un peu moins la couleur ; ça les plongeait dans des dilemmes quasi cornéliens, d'ailleurs.

Se méfier
des anglicismes. Pendant tout le petit reportage (sur france Inter, il y a quelques semaines), le monsieur parlait de "tatoos", du tatoo qui se démocratise, de plus en plus de gens qui en ont, que c'est plus répandu, de moins en moins mal vu, moins underground, tout ça.
Et du tatoo show, donc.

Puisque, paraît-il,
on trouve parfois des bretons égarés quelque part dans un djihad…
Oh, et, sur le drapeau, c'est écrit "Breizh ma Bro". Enfin, à peu près ; phonétiquement, on va dire.

On les cuisine,
on les jette sauvagement dans l'eau bouillante,
mais prenez d'abord le temps de les regarder,
c'est si joli…

(ça n'empêche pas de les jeter malgré tout, ensuite, dans l'eau bouillante) (avec des oignons et des carottes)