Quel est le titre de cet album ?
J'ai la pochette,
restent à trouver le titre, les chanteurs, la musique, et les paroles.
J'ai la pochette,
restent à trouver le titre, les chanteurs, la musique, et les paroles.
Voilà donc
ce sur quoi je travaille en ce moment. Entre autre. En tout cas ce sur quoi j'avais annoncé être en train de travailler.
Et que vous ne verrez fini, peut-être, je suppose, que dans un mois.
Adendum : voilà, la planche est finie : vous pouvez la voir ici.
Aujourd'hui,
le calembour stupide du jour est un stupide calembour, repiqué (sans son autorisation) à Clotilde, ici, là, sur son blog.
Je ne peux donc pas lui dédicacer ce dessin, puisque cela reviendrait à lui dédicacer sa propre blague, ce qui serait absurde.
Oui, je sais,
il est mort. Et bien, voyez ça comme un hommage.
Oui, je sais,
c'est un peu tiré par les cheveux. Bon. Et alors ?
Personnellement ça me semblait évident, comme parallèle, mais en même temps je bois trop de café, aussi, et je me couche trop tard.
Oui, je sais,
j'ai promis une note sur un tout autre sujet, plus sérieux que ça. J'y travaille, j'y travaille.
*si si : en Matthieu 16, 25, Luc 9, 23, Luc 14, 27 et Marc 8, 34, et un peu aussi Matthieu 20, 22 et Marc 10, 38, et puis peut-être ailleurs encore.
Oh, je vous vois venir :
vous allez voir là tout de suite quelqu'allusion à une actualité récente, vous penserez que c'est là ma façon de me fendre moi aussi de mon petit billet sur le sujet.
Et bien même pas :
le brouillon de cette note date de certaine autre actualité mouvementée, quand certains jeunes gens quelque peu irréfléchis, irrités d'un "kiss-in" (quel terme idiot) organisé sur le parvis d'une église, courèrent sus en poussant des cris tels que "habemus papam" - ce qui est absurde, s'agissant d'un cri de joie réservé à une toute autre circonstance, un peu comme si on scandait "il est né le divin enfant" sur l'air de "votre crise on n'en veut pas".
Mettons, cependant, que je veuille bien voir là quelque rapport avec ce que vous avez en tête : en partie seulement, alors, et à condition de bien décortiquer cette petite fable dans ses moindres détails sans s'arrêter au plus évident. Sinon, c'est trop facile.
J'aurais bien, d'ailleurs, dans mes placards, une note nettement plus en rapport avec l'actualité sus-citée - un brouillon datant un peu, lui aussi, et lui aussi d'application bien plus large, mais qui collerait très bien au sujet.
Un jour, peut-être...
Ami lecteur,
si tu n'as strictement rien saisi de ce qui précède, bienheureux es tu, ne cherche pas à comprendre : tu t'épargneras des maux de tête et des aigreurs d'estomac. Assieds-toi sur le pas de ta porte, regarde passer les nuages, goûte l'apaisement de cette fin de journée, et oublie tout ce que tu viens de lire.
(Au fait, non, ce ne sont pas vraiment des beatniks, comme certains ne manqueront pas de le souligner, sinon dans le sens "rebelles au conformisme du moment" ; disons des anti-beatniks : les mêmes, mais de charge et de saveur inverses. En fait c'est tout ce que j'ai trouvé pour garder la sonorité du titre en une subtile allusion.)
(Non, la fin n'a rien à voir non plus avec un film douteux des Monthy Python, je tiens à le préciser parce qu'il y en a d'autres que je vois venir haha.)