Le génie du maïs
On croise…
…pas seulement de drôles de bêtes, chez nous.
(mais lui vient de la campagne, en fait, comme les lecteurs attentifs l'auront judicieusement remarqué)
On croise…
…pas seulement de drôles de bêtes, chez nous.
(mais lui vient de la campagne, en fait, comme les lecteurs attentifs l'auront judicieusement remarqué)
On croise…
…de drôles de bêtes, chez nous.
(vous aurez remarqué, sur une des photos, elle a bougé)
Je me demande,
est-ce bien moral de rire à ce sujet ? Et je suis bien certain que quelqu'un l'a déjà faite.
Au moins, je peux dédier celle-ci à mes amis guitaristes.
texte : Perceval ou le Roman du Graal, Chrétien de Troyes, traduction de Jean-Pierre Foucher et André Ortais, éd. Gallimard 1974
Que tous ceux qui ne connaîtraient pas
ou ne priseraient guère les personnages du Donjon de Naheulbeuk me pardonnent et ne m'en veuillent pas - et s'ils veulent comprendre, c'est simplement que le nain y est toujours grognon, caustique, désagréable et râleur.
À la lecture de la description, je me dis, "mais, c'est un nain qu'il décrit là" - gros sourcils, grosses moustaches emmêlées, grosse barbe torte, pas de cou, le visage tout couvert de gros poils roux - et, tournant la page, je lis ce qu'il répond, et, là, du coup, c'était drôle.
(Et bien, enfin, si, voyons, c'était drôle)